Atelier Mondial de Santé Communautaire – 3e édition

MODÉRATEUR

Goof Buijs est le coordonnateur de la Chaire / Centre collaborateur OMS Éducations & Santé. Depuis 2019, il est le directeur du volet de consultation en santé et éducation au niveau mondial. Il a fait du croisement de la santé et de l’éducation son domaine d’expertise. Il est un réseauteur expérimenté, un expert dans la création et le pilotage de projets internationaux axés sur la prévention et la jeunesse, un innovateur, un formateur et un animateur d’événements et de conférences. Il soutient la coopération entre les personnes, en mettant l’accent sur les talents et le caractère unique de chacun.

Pr. Isabelle Richard – Depuis 2022, Pr Richard est la doyenne de l’École des Hautes Études en Santé Publique (EHESP). Cette nomination fait suite à une longue carrière académique en tant que professeur universitaire et médecin hospitalier (PU-PH) spécialisée en médecine physique et en réadaptation. En tant qu’experte, elle a également contribué à plusieurs conseils et comités nationaux et a occupé le poste prestigieux de conseillère principale pour les questions de santé et de formation auprès de la ministre française de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, entre 2017 et 2019. Avant de s’installer à Rennes pour l’EHESP, elle était première vice-présidente de l’Université d’Angers et en charge de l’égalité.

Sarah Chaput –En tant que directrice du Réseau francophone international pour la promotion de la santé (RÉFIPS), Région des Amériques, Sarah Chaput travaille de concert avec plusieurs parties prenantes au renforcement des capacités en matière de promotion de la santé. Sarah est titulaire d’un baccalauréat en nutrition et d’une maîtrise en santé publique de l’Université de Montréal, et a travaillé comme conseillère scientifique pour l’Institut national de santé publique du Québec. Bien qu’elle ait d’abord travaillé sur les questions d’accès à l’alimentation, son champ de pratique s’est élargi au cours des dernières années pour inclure des approches plus globales de la promotion de la santé. Sarah apprécie le partage des connaissances et de l’expertise en promotion de la santé dans une perspective de santé durable et de relations gagnant-gagnant entre les parties prenantes.

Liane Comeau est directrice exécutive de l’Union Internationale de Promotion de la Santé et d’Éducation pour la Santé (UIPES) depuis avril 2018. Elle a travaillé dans une ONG pancanadienne, Investir dans l’enfance, en tant que directrice de la recherche et de l’évaluation, et comme conseillère scientifique spécialisée à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), en se concentrant sur les initiatives de promotion de la santé ciblant les enfants, les adolescents et les familles. Elle est titulaire d’un doctorat en psychologie du développement de l’Université McGill (2004). Alors qu’elle travaillait à l’INSPQ, elle a publié des articles scientifiques sur divers sujets, notamment la santé mentale et le développement de l’enfant, et a coécrit plusieurs rapports sur des sujets de santé publique pertinents pour les politiques.

Nicola Gray est la co-titulaire de la Chaire UNESCO Éducations & Santé. Elle est maître de conférences à l’Université de Huddersfield, au Royaume-Uni. Pharmacienne depuis1991, elle a travaillé dans les hôpitaux, les collectivités et les universités. Elle est membre du conseil d’administration de l’Association britannique pour la santé des jeunes (UK Association for Young People’s Health) et vice-présidente pour l’Europe de l’Association internationale pour la santé des adolescents (International Association for Adolescent Health). Nicola est également membre du conseil d’administration de la coalition mondiale NCD Child, dont elle préside le groupe de travail sur les Essential Medicines and Equipment. Elle a publié un certain nombre d’articles concernant la réouverture des écoles pendant la pandémie de COVID-19, y compris les défis pour les enfants et les jeunes vivant avec une maladie chronique.

Didier Jourdan est professeur titulaire, co-titulaire de la Chaire UNESCO Éducations & Santé et directeur du Centre Collaborateur OMS pour la “recherche en éducation et santé” qui se concentrent sur la production et le partage de connaissances dans une perspective intersectorielle. Il est l’ancien directeur de la division de la prévention et de la promotion de la santé de l’Agence nationale de santé publique française. Il a également occupé les postes de directeur de l’École Supérieure du Professorat et de l’Éducation (ESPE), de directeur du Centre for lifelong learning et de vice-président de l’Université Blaise Pascal. Il a également été président de la commission “Prévention, éducation et promotion de la santé” du Haut Conseil de la santé publique et président du réseau “Universities for training in health education“.

Glenn Laverack est un spécialiste des sciences sociales et un leader dans le domaine de la promotion de la santé et de l’autonomisation des communautés. Il mène depuis 40 ans une brillante carrière de praticien, d’universitaire, de chercheur et de consultant dans plus de 50 pays. Il a défendu la valeur des citoyens ordinaires dans le développement de solutions innovantes pour co-créer des programmes réussis dans différents contextes culturels. Il a géré plusieurs programmes de santé à grande échelle, notamment au Ghana et en Inde, et a publié un large éventail d’ouvrages, dont 26 livres dans 13 langues différentes. Il a occupé un poste académique dans huit universités et son doctorat portait sur la collaboration des communauté dans les programmes de santé aux Fidji. Il est actuellement conseiller indépendant auprès d’agences de développement gouvernementales et internationales.

Résumé: Les solutions pratiques aux défis actuels en matière de santé et de bien-être doivent mettre l’accent sur l’engagement et la mobilisation des communautés en tant qu’étape essentielle vers la coproduction et la durabilité. Pourquoi l’engagement communautaire joue-t-il un rôle si important et que pouvons-nous apprendre d’autres expériences dans le monde ? Une réflexion sur des études de cas internationales permettra de mieux comprendre comment dynamiser les communautés en leur donnant les moyens d’agir pour des vies plus saines.

DISCUTANT

Eric Breton, canadien, est professeur à l’École des Hautes Études en Santé Publique (EHESP). Avant de s’installer en France, il a acquis une vaste expérience internationale de recherche au Canada, en Australie et aux Émirats arabes unis. Ses recherches portent principalement sur les stratégies de promotion des politiques de prévention des maladies non transmissibles, sur l’évaluation des interventions communautaires complexes et sur les stratégies de renforcement des capacités locales en matière de santé et d’équité. Il est chercheur affilié à la Chaire UNESCO Éducations & Santé, et siège dans différents groupes d’experts nationaux et régionaux tels que le Haut Conseil de la santé publique (HCSP). En 2020, il a publié avec trois autres éditeurs la deuxième édition du premier manuel de promotion de la santé en français, une publication qui a mobilisé les contributions de 40 auteurs provenant de 6 pays.

 

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Nastaran Keshavarz Mohammadi est professeure en promotion de la santé à l’École de santé publique de l’Université des sciences médicales Shahid Beheshti, en Iran. Elle est également un membre central du comité scientifique de la Chaire UNESCO Éducations & Santé.

Raul Mercer est pédiatre et titulaire d’une maîtrise en épidémiologie de l’Université de Madison, Wisconsin, États-Unis. Il a été coordinateur du programme pour la mère et l’enfant du Ministère de la santé de la province de Buenos Aires et au niveau national. Il coordonne actuellement le programme des sciences sociales et de santé à la FLACSO (Faculté latino-américaine des sciences sociales). Il a été membre de la commission Lancet-OMS-UNICEF pour le rapport “A future for the world’s children?” et est actuellement membre de l’initiative CAP-2030 (Children in All Policies) (www.cap-2030.org). Il participe au comité de pédiatrie sociale de l’ALAPE et à la Société internationale de pédiatrie sociale (ISSOP) (www.issop.org). Au sein de la FLACSO, il développe des activités liées à la promotion de la santé, aux droits et à la santé des enfants, au genre et à l’enfance, à l’approche du parcours de vie, au développement de la petite enfance et à l’éducation sexuelle complète. Récemment, il s’est penché sur les déterminants commerciaux de la santé et sur les conséquences de la commercialisation de produits nocifs pour la santé des enfants et des adolescents.

Mariela Alderete est médecin, diplômée de l’Université nationale de Córdoba, en Argentine. Elle a terminé sa formation de médecin de famille à l’hôpital italien de Buenos Aires, en Argentine. Elle a suivi un programme de maîtrise en systèmes de santé et de sécurité sociale à l’Université Isalud de Buenos Aires (thèse en cours). Elle est membre du programme de sciences sociales et de santé de la FLACSO, en Argentine. Elle dirige l’élaboration de projets de recherche et d’éducation pour la promotion des politiques de santé publique aux niveaux national et régional. Expérience pertinente : Projet régional pour la promotion des politiques publiques de lutte contre le tabagisme en Amérique latine. M. Bloomberg Foundation, NY USA et CTFK (Campaign for Tobacco-Free Kids) Washington DC USA ; coordonnatrice de l’étude pilote pour le suivi du Code international de commercialisation des substituts du lait maternel avec le soutien de l’OPS, de l’UNICEF et du SAP. Membre du réseau pour la formulation d’une loi réglementant la commercialisation des BMS en Argentine.

Résumé: Selon la série d’articles publiée récemment par le Lancet, les déterminants commerciaux de la santé (DCS) sont définis comme les systèmes, les pratiques et les voies par lesquelles les acteurs commerciaux influencent la santé et l’équité. Dans le contexte actuel, la littérature disponible considère les effets des DCS sur la population adulte sans mentionner leur importance durant les premières étapes de la vie. L’objectif de cette présentation est d’analyser les bases conceptuelles des DCS et de reconnaître comment le marketing nocif affecte potentiellement la santé des enfants. Nous considérons qu’il est crucial d’identifier les premiers stades de la vie comme une période pertinente au cours de laquelle les modalités de l’insécurité alimentaire induite sont générées.

Grace Gatera est une consultante en santé mentale vivant à Kigali, au Rwanda. Elle est “a Wellcome Lived Experience Advisor“, une jeune leader auprès de l’UNICEF Leading Minds et une jeune leader auprès de My Mind Our Humanity, une campagne menées par des jeunes pour la Lancet Commission on Global Mental Health and Sustainable Development. Grace se passionne pour l’accès des jeunes, en particulier ceux des communautés vulnérables et marginalisées du monde entier, à des soins de santé mentale et à des médicaments spécialisés et de qualité, ainsi que pour leur participation à la prise de décisions et à l’élaboration de politiques de haut niveau dans le domaine de la santé mentale.

Diana Medina est psychologue clinicienne, titulaire d’un master en santé publique de l’université de San Francisco et d’un master en épidémiologie de l’université catholique de l’Équateur. Elle a travaillé pendant plus de 9 ans dans le domaine de la santé mentale, des dépendances et des handicaps aux niveaux national et local.

Résumé: La présentation portera sur les défis concernant la santé mentale en Équateur. Les expériences de la ville de Quito, capitale du pays, seront partagées. Les approches de santé communautaire développées pendant 2 ans ont permis d’identifier la nécessité de mener des actions transversales dans les 219 cantons du pays.

Ojistoh Kahnawahere Horn est une femme Mohawk / Haudenosaunee dont la mère est originaire de Kahnawake et le père d’Akwesasne. Elle travaille comme médecin de famille et s’occupe de son peuple à tous les stades de la vie. Elle enseigne aux étudiants en médecine et aux internes en médecine familiale les complexités de la prestation de soins primaires aux peuples autochtones et à leurs communautés. S’appuyant sur des paradigmes occidentaux et traditionnels, travaillant avec des médecins de même sensibilité dans tout le pays, et se concentrant sur les effets de l’environnement et de la pollution sur la santé, elle promeut l’inclusion et le soutien des connaissances traditionnelles et des “façons d’être” dans un cadre permettant de fournir des soins holistiques et primaires à son peuple.

Dr. Edith Madela-Mntla est universitaire et chercheure dans les domaines de la recherche transdisciplinaire, de la gestion de la santé, de la réglementation des médicaments et de la santé mentale. Elle est titulaire d’un doctorat en soins infirmiers en santé mentale. Elle est actuellement maître de conférences et chercheuse à l’université de Pretoria (Afrique du Sud), où elle est également coordinatrice de l’engagement communautaire à l’école de médecine et membre du comité d’éthique de la faculté de santé. Elle est directrice adjointe de l’unité de recherche sur les soins primaires orientés vers la communauté, qui fournit des soins de santé intégrés aux communautés défavorisées (en utilisant une approche transdisciplinaire). Elle est affiliée à l’Université des sciences de la santé Sefako Makgatho en tant qu’associée pour la supervision de la recherche post-universitaire. Elle est impliquée dans les initiatives relatives aux objectifs de développement durable (y compris le changement climatique) en Afrique depuis 2011, date à laquelle elle a assumé les fonctions de directrice régionale du Conseil international pour la science (CIUS), à la tête de son bureau régional pour l’Afrique, hébergé par le ministère de la science et de l’innovation. Elle travaille actuellement au sein du Mécanisme régional africain des grands groupes et autres parties prenantes (ARMMGOS) en tant que coordinatrice pour le monde universitaire.

Résumé: Les établissements informels sont courants dans les pays en développement du monde entier. Il y a plusieurs raisons à cela, la principale pour l’Afrique du Sud étant les inégalités socio-économiques. Les impacts environnementaux de ces environnements défavorisés sur la santé humaine sont souvent désastreux, notamment en ce qui concerne la pollution de l’air et de l’eau. L’unité de recherche COPC tire des leçons difficiles de ses recherches sur la mise en œuvre dans certains de ces établissements de la ville de Tshwane, qui ont débuté il y a cinq ans. Ces leçons exigent une approche fondée sur les déterminants sociaux de la santé, qui comprend la prise en compte des défis et des obstacles potentiels à la mise en œuvre de soins primaires axés sur la communauté..

Dr Robert Akparibo est maître de conférences (professeur associé) en santé mondiale et nutrition à la School of Health and Related Research (ScHARR) de l’Université de Sheffield. Il a plus de 20 ans d’expérience combinée dans le développement et la mise en œuvre d’interventions de santé publique, la recherche et le renforcement des capacités des professionnels de la santé. Le Dr Akparibo a reçu une formation en santé publique, en nutrition, en épidémiologie et en gestion et direction de programmes à l’Université de Sheffield (Royaume-Uni), à l’Université de Copenhague (Danemark), à l’Université de Rennes (France), à l’Université Jagiellonian (Pologne), à l’Imperial College (Londres) et à l’Université d’études sur le développement (Ghana). Avant de rejoindre l’Université de Sheffield, le Dr Akparibo a travaillé avec plusieurs organisations de développement sur deux continents différents (Afrique subsaharienne et Europe), notamment avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au bureau régional européen (Danemark), avec l’UNICEF au Ghana, avec Family Health International au Sénégal, avec Helen Keller International au Burkina Faso, avec l’Association of Faith-Based Development Programme (ACDEP) au Ghana et avec les services de santé ghanéens. Il est professeur invité à l’University of Allied Health Sciences, au Ghana, et coprésident du Global School Health and Nutrition Special Interest group, ainsi que du Nutrition Measurement Community of Practice group du Global Research Consortium on School Health and Nutrition (Consortium mondial de recherche sur la santé et la nutrition à l’école).

Nabil Sayed Ahmad Beiruti. Né à Damas (Syrie) en 1950. En Espagne depuis janvier 1970. Spécialiste en psychiatrie. Actuellement à la retraite. Membre de Médecins du monde, d’Amnesty International, du HCR et de l’Association espagnole de neuropsychiatrie. Bénévole à la Croix-Rouge.
Expertise en santé mentale dans les communautés. Expérience en matière de soins sociaux et de santé pour les populations migrantes en collaboration avec des ONG et des associations, dans une perspective communautaire et interculturelle.
Expérience d’enseignement dans plusieurs masters sur la santé mentale et la migration, avec des contributions sur le même sujet dans des articles, des chapitres de livres et des conférences. Tuteur d’internes en psychiatrie et en médecine familiale et communautaire.

Nacido en Damasco (Siria) el 23-10-1950. En España desde enero de 1970. Médico Especialista en Psiquiatría. Actualmente jubilado. Socio de Médicos del Mundo, Amnistía Internacional, ACNUR y Asociación Española de Neuropsiquiatría. Voluntario de Cruz Roja.
Competencia en salud mental comunitaria. Experiencia en atención sociosanitaria a población migrante en colaboración con ONG y asociaciones, con perspectiva comunitaria e intercultural.
Experiencia docente en varios masters sobre salud mental y migración, con aportaciones sobre el mismo tema en artículos, capítulos de libros y conferencias. Tutor de Médicos Internos Residentes en Psiquiatría y en Medicina Familiar y Comunitaria.

Caroline Masquillier est chercheure post-doctorale au sein des départements de médecine familiale et de santé des populations et de sociologie. Elle est l’experte scientifique du premier programme fédéral d’agents de santé communautaire (ASC) en Belgique. En outre, elle est responsable de la recherche et de la valorisation d’un projet de recherche à grande échelle dans le cadre duquel l’équipe de recherche transposera un modèle d’agent de santé communautaire d’Afrique du Sud et du Brésil au contexte belge. Elle est également membre du conseil d’administration de la “Young Academy”. Pour ses recherches, elle a reçu un prix d’encouragement pour les jeunes chercheurs et le prix de la Fondation scientifique de l’Académie royale flamande des sciences et des arts (KVAB). Pour ses efforts de communication scientifique, Caroline a reçu plusieurs prix (prix Vocatio, prix Gust Bouwen et prix de l’année de la KVAB). 

Somto Chike-Obuekwe est une pharmacienne agréée du Nigeria, où elle exerce depuis plus de cinq ans. Elle a obtenu son diplôme de maîtrise en pratique pharmaceutique avancée avec stage hospitalier à l’Université de Huddersfield, où elle a poursuivi un doctorat sur la prévention du suicide. Ses recherches portent sur la contribution de la pharmacie communautaire à la prévention du suicide au Nigeria.

Camila Ait-Yala est chef de projet de l’équipe “IEC Santé” au GRAS (Unité de Recherche en Anthropologie de la Santé), situé à l’Université d’Oran 2 (Algérie). Elle est titulaire d’un doctorat en sciences du langage de l’Université d’Oran 2 et s’est spécialisée dans l’analyse des interactions verbales en situation professionnelle, notamment en milieu hospitalier. Camila est la coordinatrice algérienne de la Chaire UNESCO Éducation & Santé.

Oumar Bella Diallo est sénégalais, titulaire d’un Master 2 en Enseignement des SVT, d’une licence professionnelle en éducation et promotion de la santé et d’une licence 3 en Biologie, Chimie et Géosciences. J’ai fait des études dans le domaine des Sciences et Technologies, option des Sciences de la Vie et de la Terre à la Faculté des Sciences et Techniques de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar. Je suis un enseignant des Sciences de la Vie et de la Terre, promoteur de la santé. Actuellement je suis un chercheur junior, membre du comité consultatif du projet de recherche action HIRA(Héberger, Informer, Re-socialiser et Accueillir),mené par le LASPAD (Laboratoire d’Analyses des Sociétés et des Pouvoirs /Afrique Diaspora ) de l’UGB _Saint Louis. Ce projet étudie les défis politiques et sociaux de la prise en charge des adolescentes victimes de Violences sexuelles et sexistes au au Sénégal.

Abdou Khaly Mbodj est titulaire d’un master en santé communautaire de l’Université Alioune Diop de Bambey, au Sénégal. Il est le manager général de l’entreprise Rao Bussiness Kheweul et le coordinateur de la plateforme Rawal Ak Diam à Saint-Louis, un projet ayant pour mission d’améliorer la santé maternelle et infantile. Il est également enseignant associé à la licence professionnelle en éducation et promotion de la santé de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, co-portée avec la Chaire UNESCO Éducations & Santé..

Valérie Ivassenko est chargée de projet au sein de la Chaire UNESCO Éducations & Santé. Infirmière pendant 15 ans en service hospitalier, diplômée d’un master en philosophie pratique, et de licences en anthropologie et en promotion de la santé, elle s’intéresse particulièrement aux enjeux éthiques et anthropologiques des questions de santé. Elle participe actuellement à la mise en œuvre de plusieurs projets internationaux de développement des capacités et de partage de connaissances en promotion de la santé..

Jean-Christophe Azorin enseigne actuellement à la Faculté d’Education de Montpellier dans un master dédié à la promotion de la santé et au développement durable il  intervient également à  l’Université de Paris Saclay dans le cadre d’un DU d’Education pour la prévention des Cancers. Il collabore à diverses organisations s’intéressant à la santé communautaire notamment en Afrique sub-saharienne et au Vietnam. Il conseille les collectivités territoriales dans la mise en place de programmes d’action en santé en direction des populations. Jean-Christophe Azorin est rédacteur en chef de la Revue Santé Scolaire et Universitaire éditée par Elsevier.

Fatemeh Mohammadi–Nasrabadi, Docteure en nutrition (mineure : économie). Professeure associée de recherche (en recherche), département de recherche sur la politique et la planification en alimentation et nutrition, Institut national de recherche sur la nutrition et la technologie alimentaire, Université Shaheed Beheshti des sciences médicales, Iran.

Intérêts de recherche : Sécurité alimentaire, ses déterminants et conséquences ; analyse et évaluation des politiques alimentaires et nutritionnelles ; enquêtes sur les habitudes alimentaires et la consommation ; préparation des tableaux de composition nutritionnelle des aliments iraniens ; facteurs de risque de maladies non transmissibles liés à la nutrition dans la population vulnérable ; prévention de l’obésité chez les enfants et les adolescents ; statut socio-économique en relation avec la nutrition.

Catherine Chabot est chargée de projet à la Chaire UNESCO Santé & Éducation. Elle est titulaire d’une maîtrise en études urbaines de l’Institut national de la recherche scientifique (Montréal, Canada) et d’un baccalauréat en géographie de l’Université Laval (Québec, Canada). Ses collaborations avec la Chaire UNESCO et avec la Chaire sur les Approches communautaires et les Inégalités de santé l’ont amenée à explorer l’action intersectorielle comme stratégie clé pour réduire les inégalités de santé.

Rosalie Aduayi Diop est enseignante-chercheuse à l’Institut de Population, Développement et Santé de la Reproduction de l’Université Cheikh Diop de Dakar (IPDSR/UCAD). Elle est titulaire d’un doctorat en sociologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Le Dr Diop est impliquée dans un large éventail d’activités d’enseignement et de recherche au Sénégal, se concentrant sur des questions telles que les changements dans la famille, les adolescents et les jeunes en situation de vulnérabilité, la violence et la santé reproductive, ainsi que la santé maternelle. Elle est également membre actif de l’Association internationale des sociologues de langue française (AISLF), du comité de recherche n° 28 Sociologie de la Jeunesse, de l’Association internationale de sociologie (ISA) et, depuis peu, membre du comité de l’Union internationale de Promotion de la Santé et d’Éducation pour la Santé (UIPES).

Jean Paul Ilunga Mulaja est titulaire d’une maîtrise en santé et développement et d’un diplôme d’études supérieures en relations internationales. Il est directeur exécutif de l’ONG Equilibre International République démocratique du Congo, membre international de la santé publique, consultant et expert, facilitateur international, cadre supérieur de l’administration publique, enseignant, chercheur et auteur de livres et d’articles. Membre international de sociétés, de syndicats et de la Chaire UNESCO Éducation & Santé.

Gildas Vieira, docteur en santé publique, est directeur général de l’Institut Renaudot et de la Fédération des Acteurs en Promotion de la Santé (FRAPS-IREPS). Il est enseignant et chercheur, président de l’Ecole de l’Espoir et conseiller municipal et communautaire. Ses travaux portent sur l’interculturalité et la santé communautaire. En tant que coordonnateur d’un réseau francophone, il estime que la promotion de la santé est un facteur majeur de réduction des inégalités sociales de santé. Il s’engage en faveur d’une véritable participation par le biais d’un plaidoyer politique et professionnel visant à développer le pouvoir d’agir.

Silvia de Ruiter est chargée de projet à la Chaire UNESCO Éducations & Santé. Elle est titulaire d’une maîtrise en sciences de la communication de l’Université de Twente (Pays-Bas). Elle a travaillé sur plusieurs programmes européens de promotion de la santé, notamment le réseau Schools for Health in Europe (SHE Network). Elle a également participé à l’élaboration et à la mise en œuvre de l’école de promotion de la santé aux Pays-Bas.